Si animer des équipes, construire une stratégie, mettre au point de nouveaux produits ou services, tenir un compte de résultat sont autant de missions qui animent tous les entrepreneurs, entreprendre c’est également devoir faire face à des soucis de recrutement, de financements, trouver des solutions techniques, commerciales… bref faire face à une charge mentale qui au fil des années peut devenir pesante.
L’une des solutions est de changer de cap. Pourquoi pas vous ? Et pourquoi pas dès 2024 ?
La fiscalité sur les cessions-transmissions d’entreprise représente un enjeu majeur pour les chefs d’entreprise, car cette opération couronne souvent le travail de toute une vie. Or, si rien n’est fait, entre impôt sur le revenu, taxation des plus-values sur les cessions de titres et éventuellement droits de mutation à titre gratuit, elle peut atteindre jusqu’à environ 46 %. Il existe pourtant des techniques permettant d’optimiser cette fiscalité, à condition d’anticiper la cession.
Explications par Amélie Branchu, Responsable Ingénierie Patrimoniale chez Arkéa Banque Privée.
Taux d’intérêt élevés, investisseurs attentistes et banquiers plus exigeants, telle est la nouvelle équation à laquelle sont confrontés les porteurs de projet de cession-reprise d’entreprise. Dans ce contexte, comment mener à bien le processus de transmission ? Eléments de réponse avec le cabinet d’affaires indépendant Symphonie Finance.
Qu’est-ce que l’apport cession ? Mis en place par la troisième loi de finance rectificative de 2012, l’apport-cession est un dispositif qui permet de reporter l’imposition des plus-values de cession, en réinvestissant les gains générés par la vente de son entreprise. Pour cela, le dirigeant q…
Gérer, c’est prévoir dit un dicton. Le chef d’entreprise peut toutefois oublier son propre intérêt personnel et ne pas prendre les dispositions utiles pour assurer la sauvegarde de sa société en cas de décès, d’invalidité ou de divorce. Nos recommandations