Pour convaincre un repreneur qu’il paye le bon prix, le chef d’entreprise cédant doit lui présenter des informations pertinentes et fiables. Voici celles qui apportent une première valorisation la plus cohérente.
Après un record historique en 2019, le marché de la cession d’entreprise a été fortement chahuté par la crise sanitaire. Plus d’un an après son déclenchement, les perspectives restent incertaines pour les dirigeants entre baisses d’activité et amorce de reprise. Dans ce contexte, est-il opportun d’envisager de céder son entreprise ? Éléments de réponse.
Le confinement brutal et le lent déconfinement, l’activité des entreprises connaît une évolution en forme de montagnes russes. Cette situation est loin d’être neutre quand une entreprise est cédée. Précisions :
La vente de son entreprise à soi-même est un montage financier habile et subtile. S’il est parfois complexe à financer, son intérêt est quant à lui facile à comprendre.
La vente d’une entreprise peut bêtement échouer. Le vendeur ou l’acheteur a manqué de précaution, braquant l’autre partie au point d’atteindre un point de non retour dans les négociations. Voici quelques comportements à éviter.
La réussite d’une vente d’entreprise repose sur un calendrier bien précis. Des documents sont également à produire dans un ordre préétabli. Détails
Au moment de négocier le prix de cession de l’entreprise, l’acheteur peut solliciter auprès du vendeur un prêt. Les précautions à prendre et les cas où il faut accepter ou refuser.
Salariés, fournisseurs, clients, concurrents… Mieux vaut qu’ils sachent le plus tard possible que votre entreprise est à vendre. Voici comment limiter l’anxiété et les attaques malveillantes.
La décision de céder son entreprise repose en dernier point sur le montant que le repreneur accepte de payer. Autant un montant trop faible fait renoncer le cédant, autant un montant surévalué fait fuir les acheteurs. Les pièges ne manquent pas pour s’approcher du prix juste.